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Galette des rois  

 

Palais  Sarde le 13 janvier 14 h00

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Un peu d'histoire

Le Palais des Rois Sardes, situé dans le Vieux-Nice, est un monument emblématique chargé d'histoire. Construit au début du XVIIe siècle, il a été la résidence des gouverneurs du Comté de Nice, alors sous domination du Royaume de Sardaigne. Ce palais a également accueilli les souverains sardes lorsqu'ils séjournaient dans la région.

Son architecture est typique de la période baroque, avec une façade sobre contrastant avec des intérieurs richement décorés, reflétant le prestige des occupants. Aujourd'hui, le palais abrite des services administratifs, mais il reste un témoignage important du passé sarde de Nice, avant son rattachement à la France en 1860.

C'est un lieu incontournable pour découvrir l'histoire de la ville et de ses liens avec la Maison de Savoie.

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La fête en mon Palais

Le palais des rois Sardes 

Une fête pleine de saveurs    et de convivialité  

La fête a été marquée par des instants mémorables, notamment la dégustation de galettes, provençales et traditionnelles, qui ont ravi tous les participants. Mais c’est l’orchestre qui a véritablement donné le ton : une musique entraînante a rapidement rempli la piste de danse, où toutes les générations se sont retrouvées pour partager des pas endiablés et des éclats de rire.

Dans cette ambiance chaleureuse, notre présidente, Kathy Nicolas, a remercié Charles Ange Ginésy et Jean-Paul David, maire de Guillaumes, pour leur soutien et leur présence. Elle a également souligné l’importance de ces rencontres qui permettent de renforcer les liens entre les associations et les institutions locales.

La journée s’est conclue dans la bonne humeur, avec des échanges riches et de belles rencontres. Un grand merci à tous les participants et organisateurs pour cette fête inoubliable ! Rendez-vous l’année prochaine pour continuer à danser et à partager ces beaux moments ensemble.

Galette des rois ​​

Salle Péone 14h00

Origine de l’expression « Tirer les rois »  
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L'expression "tirer les rois" vient de la tradition de l’Épiphanie, célébrée le 6 janvier. Cette fête chrétienne commémore la visite des Rois Mages (Gaspard, Melchior, et Balthazar) à l’enfant Jésus, symbolisant la reconnaissance du Messie par le monde entier.

Au Moyen Âge, on a instauré la coutume de partager une galette contenant une fève. Celui ou celle qui trouvait la fève devenait symboliquement "roi" ou "reine" de la journée, d'où l’expression "tirer les rois". C’est donc une manière festive et conviviale de marquer cette célébration.

Trois ou quatre rois mages ? 
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Le quatrième roi mage, Artaban, est une figure légendaire issue d’un récit apocryphe. Son histoire, popularisée par le roman "The Other Wise Man" de Henry Van Dyke (1895), raconte qu'Artaban était un savant perse qui voulait accompagner les trois Rois Mages (Gaspard, Melchior, et Balthazar) pour offrir ses présents à l’enfant Jésus.

Pourquoi n’a-t-il jamais rejoint les autres ?

Artaban portait trois trésors précieux : une perle, un rubis et un saphir, destinés au Messie. Mais en chemin, il s’arrête plusieurs fois pour secourir des personnes dans le besoin : un malade, des pauvres, ou encore des victimes d'injustice. Ces actes de charité le retiennent et l’empêchent d’arriver à temps à Bethléem avec les autres Mages.

La fin de l’histoire

Après des années de quête infructueuse, Artaban arrive à Jérusalem le jour de la crucifixion de Jésus. Là, il offre sa dernière perle pour sauver une jeune fille de l’esclavage. Finalement, il meurt peu après, mais a la vision que ses actes de bonté étaient en réalité les offrandes les plus précieuses qu'il pouvait offrir au Christ.

Morale

L’histoire d’Artaban illustre l’idée que les actes d’amour et de compassion sont les plus grands cadeaux que l’on puisse offrir. Bien qu’il ne rencontre jamais Jésus, ses bonnes actions témoignent de sa véritable foi et dévotion.

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